Duo Pierre Diaz & Gilles Dalbis

https://gillesdalbis.com/downloads/9-pieces-pour-duo-pierre-diaz-et-gilles-dalbis-4020/
Vidéo Accueil

Pierre Diaz Pierre Diaz saxophones, flĂ»tes, clarinette basse

Gilles Dalbis Gilles Dalbis batterie, petit cristal Baschet, gongs

Le Duo se produit dans de nombreux concerts et festivals :
Eglise des Dominicains Montpellier avec Gilles Danroc op, Abbaye de Vignogoul avec Jean-Pierre LantĂ©, Centre Sophrologie Montpellier…et Ă©galement crĂ©e les Concerts MĂ©tamorphoses au Poing de Singe Clermont l’HĂ©rault, avec 1 invitĂ©(e) diffĂ©rent(e) Ă  chaque fois dont Christiane Ildevert, puis Marie-Ange Amiand, Patrice Soletti, Jean-Pierre Jullian, Sophie Laporte
Festival de MourÚze Les Bacchanales avec Anne Cécile Déliaud
Film avec Françoise di Tucci Les Métamorphoses de Koyuki
Cd Métamorphoses puis 9 piÚces pour Duo

“Magnifique duo tout en aventures musicales sans filet et sans retour possible, en route vers un absolu sonore, paradis des musiciens Ă  la peau tannĂ©e par le son …des mondes et des paysages Ă  dĂ©couvrir avec des cailloux d’or semĂ©s sur les sentiers des compositions instantanĂ©es oĂč il fait bon se perdre oĂč il fait bon s’inventer dans une note , dans un son , dans un cri, dans un silence.
Musique de deux marins qui nous enchantent dans l’ocĂ©an du monde aux vagues scĂ©lĂ©rates qui en a bien besoin…
je partage sur mon FB et bravo Ă  vous deux pour cette haute, profonde et belle complicitĂ© de toujours”. 
Patrick Geffroy Yorffeg

PLusieurs articles de Presse suite Ă  la sortie des CD
Métamorphoses

CD Metamorphoses Dalbis Diaz
puis 9 piĂšces pour Duo


Film de Clémence Dalbis



Vidéos Métamorphoses Invitée Christiane Ildevert contrebasse voix
vidĂ©os Frank Bigotte – au Poing de singe Clermont l’HĂ©rault mai 2015

Lecteur Audio sous ce lien

Métamorphoses Invitée Marie-Ange Amiand Danse
photos Frank Bigotte

Métamorphoses Invité Gilles Danroc Op textes, voix
photos Frank Bigotte

Métamorphoses Invité Patrice Soletti guitare
photos Frank Bigotte

Métamorphoses Invité Jean-Pierre Jullian percussions
photo Lucia Jullian

PRESSE

Voir lien http://www.musicologie.org/18/pierre_diaz_et_gilles_dalbis.html 
“…Un retour Ă  l’essence d’un free jazz minimaliste improvisĂ© mais sans volontĂ© de dissonner ou d’exploser le mur du son.
De le franchir plutĂŽt, avec une recherche sonore et mĂ©lodique apprise de John Coltrane ou d’Eric Dolphy, et renouvelĂ©e au sax, Ă  la clarinette basse, et aux percussions toujours sur le fil, dans un dialogue constant, en Ă©cho ou en dĂ©sĂ©quilibre, avec parfois mĂȘme un brin de swing, qui Ă©tait dans les annĂ©es 60 un des points de rupture avec le jazz.
On sent aussi l’influence des musiques traditionnelles ou contemporaines.
L’ensemble fonctionne comme une suite oĂč alternent les paysages.
On y voyage avec plaisir.”
Alain Lambert 8 mai 2018

Voir lien http://notesdejazz.unblog.fr
” C’est une fort belle rencontre aussi que celle de Gilles Dalbis (batterie, percussions) et de Pierre Diaz (saxophone tĂ©nor, soprano et clarinette basse). 
Elle ne date pas d’hier. Mais elle est toujours nouvelle, toujours revivifiĂ©e.
Ces deux là se connaissent depuis quelques lustres mais ils demeurent des inventeurs. Pour toujours, assurément.

Cependant, ils sont laconiques. Ils parlent peu. Ils ne se taisent pas. Mais ne disent que l’essentiel. 
Non pas comme des vĂ©ritĂ©s tombĂ©es du ciel, pas comme des certitudes. 
PlutĂŽt comme des propositions, des partages (eux aussi, qui s’écoutent sans fin, pour que nous les Ă©coutions aussi, davantage et le mieux possible).

Aussi cet enregistrement n’a pou
r titre que « PiĂšces pour Duo » (DalbisDiaz02/1 distribution Mazeto Square Paris). 
Et les piĂšces n’ont pas de titre : elles sont seulement dĂ©signĂ©es par les instruments (par exemple, « saxophone tĂ©nor – batterie baguettes » ou bien « clarinette basse – batterie baguettes »). 
Rien d’autre que la musique donc, pour susciter l’émotion, l’imagination. Pour emporter. Ou pour rester au bord du chemin. 
Mais ce serait bien Ă©tonnant. Ce serait rester sourd. 
Ce serait bien dommage de ne pas suivre ce duo sur sa route. 
On y claudique, on y court, on se hñte. On prend son temps, on perd du temps – juste comme il faut – pour respirer, pour souffler, pour reprendre du rythme.

Que demander de plus Ă  la musique? A la vie comme elle va, comme elle est ? “
Michel Arcens 21 novembre 2017